Ce colloque international réunira différents contributeurs en sciences humaines, européens et américains (historiens du cinéma, historiens de l’art, historiens de la photographie, historiens), afin d’identifier et de questionner les assises communes des œuvres d’Albert Kahn et ses approches visant au partage des connaissances du monde et à la communication sociale par le truchement de la photographie et du cinéma…
Cette exposition proposera un ensemble de photographies couleur portant sur une variété d’affiches témoignant de la vie politique française entre 1919 et 1929.
Banquier et utopiste, Albert Kahn (1860-1940) demeure dans l’histoire de la philanthropie l’un des grands penseurs du pacifisme à l’échelle internationale. Proche de Bergson, dont il partage la même conception du Vitalisme, Kahn est un homme de son temps, intéressé et influencé par les Républicains et Laïcs emblématiques dont Buisson, Jaurès, Bourgeois ou encore Clemenceau…
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Du point de vue musical, le rock progressif se caractérise par des références à la musique classique (du baroque au contemporain) et au jazz, par son goût pour les longs développements instrumentaux et par son intérêt marqué pour les innovations sonores. Au-delà de l'aspect sonique, cette musique s'est également nourrie de littérature (notamment le fantastique et la science fiction) pour ses textes et illustrations, tandis qu'elle intégrait une certaine théâtralité à ses performances. Si la plupart des groupes qui ont connu un succès international au milieu des années soixante-dix provenaient principalement de Grande-Bretagne (Pink Floyd, Soft Machine, Genesis, King Crimson, Yes, ELP, Van Der Graaf Generator, Jethro Tull, Roxy Music, Hatfield and the North, Supertramp, UK, Marillion etc.)…
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En 1996, l’historien Jean Chesneaux pointait les limites de l’histoire historienne : à n’être tournée que sur le seul passé et à oublier que celui-ci « n’a de réalité que dans le mouvement du temps », elle risquait de se rendre aveugle au fait même d’habiter le temps. En ce sens, estimait-il, « le passé et l’histoire sont bien trop importants pour être laissés aux seuls historiens ». Cette critique participait chez Chesneaux d’une réflexion sur le droit au temps, sur le déni dont il était l’objet et sur la nécessité de sa reconquête : il invitait à travailler l’épaisseur du présent plutôt qu’à céder aux sirènes d’un « présentéisme » « qui tronçonne le temps en dissociant passé, présent et avenir », de telle manière à faire du temps un lieu fort de notre culture politique…
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Le projet PAPRIK@2F (Portail Archives Politiques Recherches Indexation Komintern et Fonds français), dans le cadre de l'ANR CORPUS, vise à développer un programme de recherche permettant de mieux connaître le phénomène communiste dans ses dimensions française et internationale. Ce projet est porté conjointement par la Maison des Sciences de l'Homme de Dijon et par les Archives nationales…
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Les juges ne sont que des êtres humains, sujets aux passions, aux erreurs, aux injustices, aux sautes d’humeur… de sorte qu’on ne peut pas s’en remettre à leur seule conscience pour rendre la justice : quelle que soit l’époque, on insiste sur les limites qui doivent être apportées à leur liberté dans l’intérêt même des justiciables, en particulier sur le respect de la loi… Benoît Garnot et Bruno Lemesle [dir.], La justice entre droit et conscience du XIIIe au XVIIIe siècle, Dijon, EUD, 2014,
ISBN : 978-2-36441-105-0 |
Les contributions issues de la journée d’étude consacrée au rire, tentent d’interroger plus particulièrement sa fonction au sein de la société. Car si le rire est le propre de l’homme, il caractérise l’homme qui vit en société et nous en apprend autant sur l’un que sur l’autre. Si l’homme rit en – et de la – société, l'inverse est valable et mérite d'être interrogé : la société rit à son tour de l'individu. Elle caricature l'individu, paradoxalement dans ses aspects les plus impersonnels… Fonctions du rire en société(s), Revue TRANSVERSALES du Centre Georges Chevrier - 4 - mise en ligne le 12 novembre 2014. |
Depuis une quinzaine d'années, les études sur Montesquieu se sont profondément renouvelées. Le corpus lui-même, grâce aux Œuvres complètes en cours, et notamment avec la première publication intégrale du manuscrit de travail de L'Esprit des lois, offre des perspectives inédites. Mais c’est aussi l’approche même qui a changé : la diversité des questions et des thèmes que son œuvre permet d’aborder élargit le champ de la recherche, de la philosophie morale et politique à l’histoire ou l’anthropologie, ou encore à la pensée du droit et de la société. Ce volume en tire méthodiquement les conséquences… Luigi Delia et Catherine Volpilhac-Auger [dir.], (Re)lire L’Esprit des lois, Paris, Publications de la Sorbonne, collection « Philosophie », 2014 - ISBN : 978-2-85944-799-1 |
En complément de l’exposition Charles de La Fosse qui se tiendra au Château de Versailles du 23 février au 24 mai 2015, l’établissement public du château, du musée et du domaine national de Versailles et le centre recherche du Château de Versailles organisent un colloque sur l’artiste, les lundi 18 et mardi 19 mai 2015. Le colloque voudrait être à la fois un approfondissement et un élargissement du propos de l’exposition et permettre de mieux situer La Fosse dans les enjeux de la pratique artistique autour de 1700…
Fin de réception des propositions : 15 décembre 2015.
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La lettre du Centre Georges Chevrier n° 30 - décembre 2014
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