n° 121 - janvier 2024
n° 121 - janvier 2024
Rencontres scientifiques
Soutenances de thèses
Vient de paraître 
Valorisation
Appels à communications Appels à contributions
Appels d'offres 
Mouvement du personnel
Rencontres scientifiques
Au cours de cette séance, nous allons revenir sur la galaxie communiste, en particulier sur le syndicalisme avec la naissance de la CGTU. Profitant de l’édition de la thèse de Jean Charles aux PUFC, Naissance et implantation de la Confédération générale du travail unitaire (1918-1927), la séance retracera l’histoire du syndicalisme révolutionnaire aux lendemains de la Première Guerre mondiale aboutissant à la scission syndicale de la CGT et à la naissance de la CGTU. De la montée des oppositionnels à la direction confédérale, en passant par les grèves de 1919-1920, il sera utile de comprendre la genèse et les débuts de la CGTU dans le contexte révolutionnaire de l’après-guerre, sans oublier les implantations de ce syndicalisme et sa place au sein de la famille communiste…
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Ce séminaire propose de considérer l’histoire de l’art à ses frontières intérieures, là où elle entre en contact avec l’individu, et de réfléchir à partir de la chair qui entoure la pensée, lui donne sa forme et dans une certaine mesure sa saveur. Il pourrait aussi être l’occasion d’aborder la question de l’anecdote à travers les œuvres des collections de l’école des Beaux-arts…
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L’hostilité des communistes à l’égard de la Croix-Rouge en général et de la Croix-Rouge russe en particulier reposait sur une conviction : l’avènement du communisme rendait la Croix-Rouge inutile, superflue. D’abord en Russie où un système de protection socialiste, en cas de maladie ou de chômage, devait se substituer à la philanthropie privée des oppresseurs. Puis au niveau mondial, car « le triomphe de la révolution mondiale et la transformation de la Communauté internationale en une fédération libre de Républiques soviétiques, en rendant les fonctions de la Croix-Rouge superflues et inutiles, condamnent celle-ci à une mort graduelle »…
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Vient de paraître |
Loin de la vision de l'auteur de cinéma promue par la Nouvelle Vague, le présent ouvrage interroge la paternité des films sur le plan juridique. Partant d’études de cas courant de l’entre-deux-guerres jusqu’au temps présent, des visées comparatives sont ainsi proposées sur l’identité professionnelle du réalisateur. Instaurant un dialogue entre juristes et historiens du film, ce travail vient combler un manque dans la recherche et la réflexion sur ce domaine. À ce titre, il pourra répondre aux besoins tant des universitaires que des professionnels du cinéma et du droit… Isabelle Marinone et Isabelle Moine-Dupuis [dir.], Cinéma et droit d'auteur. Réflexions historiques et juridiques sur la paternité du réalisateur, 2e édition, Villeneuve-d'Ascq, Presses Universitaires du Septentrion, 2023. |
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Outil indispensable à la diffusion et à la connaissance des œuvres, la reproduction est omniprésente dans la culture visuelle contemporaine. Loin de seulement susciter une « perte d’aura », selon la formule de Walter Benjamin, elle est un instrument majeur de l’histoire de l’art, utilisée par les chercheurs de manière si régulière qu’ils en oublient parfois son caractère interprétatif. Emmanuel Lamouche et Matthieu Lett [coord.], Histoire de l'art /92, Reproductions, Paris, APAHAU, 2023. |
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L’ouvrage retrace l’histoire du syndicalisme révolutionnaire aux lendemains de la première guerre mondiale aboutissant à la scission syndicale de la CGT et à la naissance de la CGTU. De la montée des oppositionnels à la direction confédérale, en passant par les grèves de 1919-1920, il retrace la genèse et les débuts de la CGTU dans le contexte révolutionnaire de l’après-guerre. La jeune CGTU est ensuite étudiée dans sa structuration, son implantation et ses liens particuliers avec la galaxie communiste. L’ouvrage s’achève en 1927 à l’apogée du syndicalisme unitaire… Jean Charles, (Morgan Poggioli et Jean Vigreux [éd. crit.]), Naissance et implantation de la Confédération générale du travail unitaire (1918-1927), Besançon, Presses universitaires de Franche-Comté, 2023. On en parle dans les médias |
Appels à communications
Depuis 2019, avec le concours de la Société d’histoire de la révolution de 1848, Les Rencontres du XIXe siècle réunissent des jeunes chercheuses et chercheurs appartenant à tous les champs historiographiques pour discuter d’une notion spécifique.
La cinquième édition portera sur la thématique « Révolution(s) » et se déroulera les 5 et 6 juin à l'Université du Mans, avec le soutien de cet établissement et du laboratoire TEMOS (UMR CNRS 9016)…
Limite de soumission des propositions : 1er mars 2024.
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Appels à contributionsCe numéro de Socio-anthropologie s’adossera à l’idée suivant laquelle dans les rapports qui s’établissent aux morts s’expriment des idéaux, ainsi qu’une certaine relation au passé et à l’avenir d’un groupe ou d’une société (Karsenti 2006, Kobelinsky et Rachedi 2023). En ce sens, ils sont porteurs d’idéologies différentes (Granet 1919, Verdery 1999, Ben-Amos 2000, Latte 2015), qui se dominent, mais se définissent aussi les unes par rapport aux autres. Le numéro invite donc des contributions qui interrogent les moments où les modalités pratiques d’occultation et de mise en visibilité, mais aussi de réification, d’objectivation, de scientifisation, de culte, de mémorialisation ou de commémoration, etc. d’un ou de plusieurs morts provoquent des plaintes et des débats, au passé comme au présent…
Limite de soumission des propositions : 21 janvier 2024.
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Appels d'offres
Du 30 mai au 16 juin 2024 aura lieu la troisième édition du Printemps de l’histoire environnementale, portée par le Réseau universitaire de chercheur.es en histoire environnementale.
L’initiative vise à valoriser l’histoire des interactions entre les sociétés et leurs environnements. Les événements sont proposés et organisés par des équipes locales, en lien avec les acteur.trice.s des territoires concernés, et rassemblés dans un programme commun.
Les événements peuvent être portés par tous les collectifs intéressés par la transmission de l’histoire des transformations environnementales de leurs territoires…
Date limite : 1er mars 2024.
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Ces allocations sont accordées à des travaux de Master 1, Master 2 et Doctorat consacrés à une recherche portant sur l’un des trois domaines de compétence du service du patrimoine de la direction générale des Patrimoines et de l’Architecture : Archéologie, Inventaire général du patrimoine culturel et Monuments historiques et sites patrimoniaux. Les candidatures peuvent relever de plusieurs domaines et dans ce cas les avis des services afférents seront recueillis. Les objets d'études seront situés sur le territoire national français (hexagonal et ultramarin). Ces allocations ne sont pas accordées selon des critères sociaux : elles correspondent à une aide de financement pour un travail de recherche…
Date limite : 26 janvier 2024.
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Les prix sont attribués individuellement à l’auteur.e unique de la proposition d’article. Les prix sont assortis d’une gratification de 1 000 € chacun, à l’exception du premier prix pour lequel elle s’élève à 1 500 €.
Les propositions d’article sont des contributions originales, fondées sur un matériau empirique (données d’enquêtes qualitatives, données statistiques, archives, etc.), n’ayant fait l’objet d’aucune publication antérieure et n’étant pas en cours de soumission à une revue. Le texte est construit autour d’une question de recherche élaborée en mobilisant une méthodologie clairement exposée et conforme aux disciplines académiques dont il relève…
Date limite : 1er mars 2024.
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Le fonds Louis Dumont n’est pas un prix mais une bourse. Il est dévolu à des projets d’anthropologie sociale et favorise la réalisation d’enquêtes de terrain par le recueil d’un matériel descriptif et l’ouverture d’une perspective monographique. Le métier de chercheur suppose l’acquisition d’une solide connaissance disciplinaire et requiert une formation aux méthodes de l’anthropologie sociale.
Le fonds a pour objet d’encourager de longues enquêtes de terrain. Cette aide à la mobilité offre deux catégories de bourse : La première, d’un montant de 12 000 € avec la prise en charge d’un billet d’avion pour un terrain de 12 mois environ. La seconde de 2 000 à 3 000 € finance des projets plus limités pour contribuer à des frais de voyage et/ou de séjour. Elle s’adresse à des masterants, doctorants ou post-doctorants engagés pour un terrain exploratoire ou une recherche en cours…
Date limite : 31 janvier 2024
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Prix annuel destiné à couronner une thèse de doctorat ou un mémoire de troisième cycle portant sur le XIXe siècle (1789-1914). Ce prix est destiné à aider à la publication de la thèse et à la poursuite des travaux de recherche du lauréat. Outre le Prix de recherche, des accessits pourront être attribués à deux autres candidats au plus, afin de récompenser la qualité de leurs travaux et de favoriser par des moyens non-financiers la publication et la diffusion de leur recherche…
Date limite pour candidater : 29 février 2024.
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Dans le cadre du Printemps de la recherche en éducation organisé par le Réseau des INSPé, un « Prix poster doctorant – Jacques Ginestié » est mis en place afin de diffuser et valoriser les travaux des jeunes chercheurs.
Avec le soutien de la Direction générale de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle (DGESIP), ce prix poster s’inscrit comme un moment fort de notre événement. En effet, le Réseau des INSPé souhaite offrir aux doctorants et jeunes docteurs l’opportunité de donner une large visibilité à leurs recherches…
Date limite pour candidater : 4 mars 2024.
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La bourse Jean Walter Zellidja aide les jeunes chercheurs francophones, doctorants ou post doctorants, à mener à bien un projet de spécialisation ou de recherche dans le pays de leur choix, sans obligation de rattachement universitaire. Elle aide les jeunes chercheurs francophones, doctorants ou post doctorants, qui désirent se donner un complément de formation ou entreprendre des recherches personnelles à l'étranger grâce à un séjour d'environ une année. L'âge limite pour faire acte de candidature est fixé à 30 ans l'année de dépôt du dossier…
Date limite pour candidater : 15 février 2024.
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Le programme national PAUSE alloue des financements incitatifs aux organismes de recherche, aux établissements d’enseignement supérieur et de recherche ainsi qu'aux écoles d'art et institutions culturelles projetant d’accueillir un.e scientifique ou un.e artiste en danger contraint.e à l'exil. Ces financements peuvent être renouvelés une fois, voire deux fois pour les doctorants à l’issue d’un nouveau processus d’évaluation. Ils ont pour objet de co-financer un projet d’accueil pour un.e scientifique ou un.e artiste étranger(e) contraint.e à l’exil de toutes origines géographiques et de toutes disciplines.
Le montant du financement attribué varie en fonction du statut et de l’expérience du bénéficiaire ainsi que de l’existence d’un projet d’accompagnement social par l’établissement d’accueil :
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Catégorie 1 (doctorant, assistant de recherche), jusqu’à 20 000 €.
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Catégorie 2 (post-doc, maître de conférence, ingénieur de recherche), jusqu’à 40 000 €.
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Catégorie 3 (professeur des universités, directeur de recherche), jusqu’à 60 000 €…
Date limite pour candidater : 25 janvier 2024.
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Mouvement du personnel
Le LIR3S accueil une nouvelle collaboratrice technique : Caroline Leriche, chargée de la mise en œuvre de méthodes et d'outils d'analyse ; de la mise en forme et de l'édition de sources et de données historiques et culturelles ; de développer et mettre en œuvre l’édition numérique des revues scientifiques du LIR3S ; de contribuer à la publication et la valorisation de la recherche ; de participer à la gestion administrative de la recherche.
La lettre du LIR3S - UMR 7366 CNRS-uB
Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche "Sociétés, Sensibilités, Soin"
n° 121 - janvier 2024
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Directeurs de la publication : Vincent Chambarlhac et Laurence Giavarini
Secrétaire de rédaction : Lilian Vincendeau
