Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche
"Sociétés, Sensibilités, Soin"
UMR 7366 CNRS-uB
Territoires contemporains


Varia
Jean-Clément Martin, La Terreur, vérités et légendes, Paris, Perrin, 2017, 240 p. [1]
Arnaud Malaty
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MOTS-CLÉS
Mots-clés : mémoire ; Terreur ; historiographie ; idéologie
Index géographique : France
Index historique : Révolution française
SOMMAIRE
I. Revenir aux faits
II. Relire la Terreur
III. Renommer l’innommable

TEXTE

La Révolution française est une véritable « machine à fantasmes » [2]. Lieu de mémoire incontestable et incontournable de la culture républicaine, sa narration, remodelée au gré des contextes et des auteurs, est révélatrice des tensions entre discours scientifiques et discours idéologiques. L’agitation intellectuelle qui couvre la lecture et la compréhension de cet événement trouve son origine dans l’interprétation de ce que l’on nomme toujours dans nos livres d’histoire « la Terreur ». Pourtant, ce sont les acteurs eux-mêmes qui ont créé cette période, dans sa réalité comme dans sa légende, et l’ont imposée aux historiens. Pour Jean-Clément Martin, ancien directeur de l’Institut d’Histoire de la Révolution française et professeur émérite à l’université de Paris I Panthéon-Sorbonne, il est grand temps, pour la discipline, de prendre ses distances avec cette dénomination qui conduit trop souvent à un dépassement de l’histoire par le mythe et l’idéologie.

En effet, la Terreur appelle à s’interroger sur les usages publics de l’histoire car elle porte en elle un conflit mémoriel contemporain. Si le grand nombre vit relativement bien cet épisode de l’histoire et a su, au fil du temps, le regarder comme un moment violent et anarchique, peut-être indispensable dans une période d’émancipation, pour d’autres cette acception n’est en rien légitime : la République s’est bâtie sur le sang de ses concitoyens par la mise en place d’un régime autoritaire « terroriste ». Pour Jean-Clément Martin, cette interprétation vient du fait que, trop souvent, l’analyse de la Révolution est conduite « en considérant que les discours et les proclamations expliquent immédiatement les actes et les réalisations ». L’historien n’a pas tort ; on raconte au Puy-du-Fou une histoire de la Révolution française et de la contre-révolution qui n’a pas grand-chose d’historique [3]. Les fantasmes sont effectivement bien là ! Ce soi-disant « terrorisme d’état » des années 1793-1794, ayant pour objectif de faire taire les opposants et de détruire les foyers contre-révolutionnaires, la Vendée en tête, est propice à conter une histoire – sensationnelle à coup sûr – sans grand scrupule de méthode. Il suffit de voir les différentes publications sur ce sujet pour s’en rendre compte. Une des dernières en date, signée par Patrick Buisson et présentée matinalement au micro de France Inter le 21 novembre 2017, nous apprend que tous les historiens, d’une seule et même voix, s’accordent à voir dans la Terreur la naissance du terrorisme d’État. Le « génocide vendéen » et les noyés de Carrier en sont bien évidemment la preuve irréfutable. Si ces œuvres politiques arrangent à leur souhait l’histoire pour la faire concorder avec leurs discours et leurs ambitions, il ne faut pas oublier que les universitaires, historiens ou philosophes, ont eux-mêmes contribué à ces prises de positions. D’Albert Soboul à François Furet, sans oublier Reynald Secher et son « génocide franco-français », la Révolution et la Terreur ont toujours été un terrain d’affrontement idéologique. Marxistes ou libéraux, républicains ou royalistes, à chacun son interprétation. De cette manière, la Terreur révolutionnaire s’est déclinée, au fil du temps, en terreur rouge, brune, et maintenant islamiste. Pour l’auteur, il est temps de désidéologiser l’histoire de la période révolutionnaire, revenir aux faits, ne pas sombrer dans des analogies faciles ; en d’autres termes : faire de la période un véritable objet d’histoire scientifique. Pour ce faire, il lui faut « établir le plus exactement possible ce qui a été voulu, reconnu et dénoncé comme “t/Terreur” par les Français d’un bord ou d’un autre, mais aussi les “terreurs” qui ont été refusées et celles qui ont été inventées » (avant-propos, p. 8). Il est donc temps de sortir des fantasmes pour se consacrer à l’Histoire.

La terreur, dans la collection vérité et légende, se donne donc pour objectif de décortiquer « comment cette légende a pris naissance et s’est imposée en interprétant le réel ». Il s’agit donc « de l’éclairer, d’en exposer le mécanisme et d’en montrer les limites pour saisir ce qu’elle a caché et voulu imposer dans les mémoires. Mais aussi de comprendre à quel point les légendes, les désinformations, les inventions jouent un rôle essentiel dans le cours de l’Histoire » (avant-propos p. 10). Trente-deux entrées nous permettent de naviguer dans l’ouvrage et interrogent autant le contexte, les acteurs et la construction mémorielle de cette période majeure de l’histoire de France. L’ambition est de taille, mais il ne faut pas accorder à ce livre un crédit qu’il n’a pas : une révolution dans l’historiographie de la Révolution française. Bien avant sa Nouvelle histoire de la Révolution, publiée en 2012, l’historien n’a cessé d’interroger la construction mémorielle qui a conduit à notre perception actuelle de la période révolutionnaire. Il s’est longtemps attardé sur les guerres de Vendée comme « lieu de mémoire », et s’oppose à la qualification de « génocide » qui est encore avancée par quelques polémistes. Plus récemment, il a travaillé sur la construction de la figure de Robespierre comme « bourreau de la Vendée » [4]. La mise à nu du mythe robespierriste, rendu responsable du système de terreur, lui permet d’appréhender plus sereinement l’épisode en lui-même.

I. Revenir aux faits

« La Terreur est ce bloc sanglant, qui serait à la fois un déchaînement incontrôlé de violence et un dévoiement de l’État, qui marque la Révolution française. » (Avant-propos p. 7.)

La Terreur commencerait donc en 1793 et se terminerait le jour de l’exécution de Robespierre. Le régime alors au pouvoir aurait eu l’initiative de mettre en place un véritable système de terreur. Seulement, pour Jean-Clément Martin :

pendant la Révolution, il y eu un État d’exception, des violences d’État et des exactions commises par des individus se couvrant de son autorité. […] Sauf que ce moment, imprécis au demeurant, a été qualifié de « Terreur » : une catégorie inédite et rejetée jusque-là par la quasi-unanimité des contemporains, qui s’est imposée et transmise jusqu’à aujourd’hui comme vraie, authentique et énigmatique, puisque rien ne la justifiait, sauf la volonté des vainqueurs de Robespierre ! Il ne s’agit donc pas d’excuser qui que ce soit, mais de se déprendre d’une image créée pour des raisons politiques. (avant-propos p. 11).

Le doute n’est donc pas permis sur la violence de la période qui se termine ce 10 thermidor an II, mais considérer qu’il y eut une ligne politique mettant en place ce système répressif arbitraire est faux pour l’historien. La veille de l’arrestation de Robespierre, la Convention se refuse complètement à dire que la France est rentrée dans un régime de terreur. En aucun cas il ne s’agit de l’application d’une politique déterminée.

Pourtant, comme tout apprenti historien, Jean-Clément Martin a un jour appris que la terreur aurait été mise à l’ordre du jour en septembre 1793. Mais, devenu spécialiste de la période révolutionnaire, aucune trace de ce fait, « la Terreur est introuvable » (chapitre 1). Aucun texte n’a jamais inscrit « la Terreur » dans l’édifice institutionnel et juridique de la Révolution. C’est le 5 septembre 1793 que la Convention, alors présidée par Robespierre, aurait appelée à la terreur. Mais, jamais « la Terreur n’a été mise à l’ordre du jour » (chapitre 2) de l’Assemblée. La Convention est même à l’opposé de prôner une politique de ce genre. Sa position tend plutôt vers un refus de la violence. La justice, elle, est à l’ordre du jour, tout comme l’emprisonnement des sans-culottes devenus incontrôlables. Le seul à parler ce jour de Terreur est le célèbre député Barère, qui, au nom du Comité de salut public, conclut la journée en remerciant les « braves sans-culottes » d’avoir demandé « la mise de la terreur à l’ordre du jour ». Alors comment s’est installée l’idée de la Terreur ? Le 5 février 1794, Robespierre prononce un discours à la Convention et énonce les « principes de morale politique qui doivent guider la Convention Nationale ». Ce discours a servi et sert toujours de preuve de la volonté politique de mettre en place un tel système. Dans ce discours, il assure que vertu et terreur sont indissociables. La plus célèbre citation de ce discours : « si le ressort du gouvernement populaire dans la paix est la vertu, le ressort du gouvernement populaire en révolution est à la fois la vertu et la terreur ; la vertu, sans laquelle la terreur est funeste, la terreur, sans laquelle la vertu est impuissante ». Mais il n’y a pas là d’apologie de la terreur. Dans son discours, Robespierre ne cherche pas à proposer une ligne politique, mais dresse un bilan des années révolutionnaires : l’objectif premier n’est pas atteint ! Le gouvernement révolutionnaire doit alors s’imposer pour résoudre les contradictions et les paradoxes de la Révolution : « le gouvernement de la révolution est le despotisme de la liberté contre la tyrannie ».

Ce sont surtout les lois de prairial (juin 1794), perçues comme un renforcement de la Terreur, qui servent à marquer la dureté de ce régime. Le tribunal révolutionnaire n’aura alors le choix qu’entre l’acquittement ou la mort. Robespierre en est vu comme l’instigateur. Mais pourtant, « la loi de prairial est une manœuvre de Robespierre contre ses ennemis » (chapitre 23). La bataille politique est perdue, et le 27 juillet 1794 il est guillotiné, suivi par une centaine de ses proches. Au lendemain de sa mort, Barère le décrit comme le « tyran ». Un mois plus tard, pour des raisons politiques et politiciennes, un de ses rivaux, Tallien, nous annonce que tout ce que le pays vient de traverser est « la Terreur », et que le « monstre » Robespierre, « Roi » de la Révolution, en est l’orchestrateur. Pourtant, jusqu’au mois d’août 1794, le mot « terreur » désigne plutôt ce que tout le monde veut éviter. Rendre responsable son défunt opposant politique d’un tel système paraît être un bon moyen de se laver les mains et d’asseoir sa propre légitimité. La Terreur est née ! Elle définit ce qui vient de se passer et punit juridiquement les coupables. Un homme l’a voulue et l’a dirigée ; plus qu’un homme, un monstre, un tyran : Robespierre. Il est vrai que dit comme ça, on sent la supercherie. Mais pourtant le mal est là ! Nous sommes héritiers et tributaires de la position de Tallien.

La philosophie va rapidement jouer son rôle dans cette interprétation. Hegel lit Tallien et tente de comprendre et de définir ce qui vient de se passer en France. Dans la Phénoménologie de l’esprit, la Terreur apparaît comme l’excès de négativité de la liberté. Ce qui était un chaos proprement incompréhensible prend un sens. La liberté était nécessaire, mais son excès a provoqué la terreur. Hegel explique, sans le comprendre vraiment, l’inexplicable, et son idée va traverser les siècles. Mais au fond, Jean-Clément Martin reproche au philosophe ce qu’un historien reproche habituellement aux philosophes. Hegel ne comprend pas ce qui se passe, ne s’intéresse pas aux faits et tente malgré tout de les expliquer. Mais si le philosophe n’a que faire du rôle de Tallien, l’historien lui y est attentif. Pour comprendre sa position et son discours, il faut contextualiser. Tallien n’est pas blanc dans les exactions commises pendant la période qu’il désigne. Il est lié aux massacres de septembre, hostile à Robespierre et est une véritable girouette politique. Pourtant, sa vision a fait foi et sa critique plonge son détracteur au cœur d’un débat médiocre : s’opposer à la vision de Tallien reviendrait ainsi à nier l’implication du gouvernement dans les massacres envers les « contre-révolutionnaires ». On accusera alors facilement l’historien d’être un « Bleu », de minimiser les exactions dont ont été victimes vendéens et contre-révolutionnaires et de vouloir faire entrer Robespierre au Panthéon. Critique facile et bien loin des volontés de l’auteur. Dans un souci méthodique et scientifique, il tente de ramener de la complexité dans cette période historique en faisant l’analyse des enjeux politiques, des directives d’État et des destins individuels. En un mot, il revient aux faits !

II. Relire la Terreur

Alors que reste-t-il de la Terreur ? La Révolution a déclenché quelque chose d’inédit, et les hommes qui la vivent doivent gérer la situation. S’il n’y a pas de système de Terreur en 1793-1794, il y a, pour l’historien, une situation qui échappe au pouvoir et qui permet au chaos de s’installer dans le pays. Le 10 août 1792, commune insurrectionnelle et troupes du Roi s’affrontent aux Tuileries et marquent le début d’une période hors de contrôle. Plus que ceux qui sont présents lors de cette prise symbolique, ce sont surtout ceux qui ne le sont pas qui intéressent Martin. En effet, les députés ne maîtrisent plus la situation et la commune insurrectionnelle, avantagée par les dissensions entre groupes politiques révolutionnaires, gagne en influence et en pouvoir. Pourtant, le pays est en guerre. Tout d’abord civile et religieuse, principalement dans les campagnes du pays depuis 1790 ; puis, extérieure à partir d’avril 1792. La situation devient alors ingérable. C’est une guerre d’un type nouveau. Une guerre où le Roi est traître, une guerre avec une volonté de destruction complète du régime, une guerre intérieure et extérieure. Il n’y a pas d’arrangement possible, il s’agit de vaincre ou de disparaître. Cette situation conduit à une montée de violence qui se cristallise lors des massacres de septembre, orchestrés par les sans-culottes. Le gouvernement est alors complètement dépassé. Les choses empirent lorsque éclate la Guerre de Vendée au printemps 1793. La mobilisation et la mort du Roi ont conduit les contre-révolutionnaires à s’unir dans cet état déjà plus que catastrophique. Le gouvernement révolutionnaire, mis à mal par des affrontements politiques, doit tant bien que mal rétablir l’ordre et en finir avec la Vendée.

Ce que veut nous faire comprendre Jean-Clément Martin est simple : dans cette période de troubles, il n’y a pas de contrôle de la violence de l’État par l’État. La situation lui échappe totalement, et sous couvert de son autorité, n’importe qui peut provoquer des violences. Fouchez, Carrier, Tallien, apparaissent alors comme des gens incontrôlés et incontrôlables, qui, dans une période de crise et suivant leurs intérêts personnels, ont commis des exactions. La conclusion de la Guerre de Vendée voit la fin de la domination des sans-culottes, majoritaires dans l’armée ; et l’amélioration de la situation extérieure rend possible un retour au calme au cours de l’année 1794. Mais les massacres ont eu lieu et les tensions politiques sont loin d’avoir disparues. Il est temps de régler ses comptes. Robespierre, devenu l’homme du moment, est le bouc émissaire idéal. Exécuté, il devient facile de lui attribuer la responsabilité de tout ce qui vient de se passer. En faisant de Robespierre l’instigateur d’un système de Terreur, tous les acteurs et organisateurs des massacres se refont une virginité. Ils tirent un profit immédiat dans la définition de ce qui vient de s’achever. Ainsi, Robespierre et son ennemi Carrier, devenu à titre posthume ami, sont assimilés à la Terreur. Les responsables ont été jugés, le monstre tyrannique déjà guillotiné.

III. Renommer l’innommable

Que retenir de la mise à nu de cette légende historique ? Le mot « terreur », et plus encore « la Terreur », invite à penser que cette période est caractérisée par une société terrorisée, sous le joug d’un État arbitraire et répressif. Mais la réalité est différente. Les exécutions n’ont pas lieu partout en France. Même à Paris, la vie continue ! Banquets, spectacles, messes ; la population est loin d’être terrorisée. En dépit des massacres en marge des directives d’État, la justice, bien que durcie, a toujours lieu. Nous sommes dans une période de répression, mais en aucun cas il n’y a utilisation de la Terreur comme instrument de gouvernement. La guerre est à l’ordre du jour, pas la Terreur. La révolte vendéenne est mal gérée par la République, mais n’en déplaise à Patrick Buisson et à tout autre idéologue ou politicien, il n’y a pas de génocide vendéen. Il n’y a pas non plus lieu de faire un parallèle entre les attentats terroristes de l’État islamique et la situation française de 1793-1794, pas plus qu’entre la Révolution française et la Révolution bolchevique de 1917. L’objectif de la répression n’est pas de provoquer la terreur dans la population mais de rétablir l’ordre. Par ailleurs, ce moment particulier est marqué par l’appropriation de la légitimité exécutive par des assemblées populaires, ce qui est totalement inédit dans l’Histoire. Les rouages du pouvoir sont mis à nu comme ils ne l’avaient jamais été auparavant et c’est peut-être ça, d’une certaine manière, le véritable scandale.

Le pari de Jean-Clément Martin était osé et son objectif est double : d’une part, il cherche à inscrire le discours scientifique dans les débats politiques et identitaires qui se servent de la mémoire des violences révolutionnaires pour véhiculer leurs idées ; d’autre part, il s’adresse à un public initié, à ceux qui ont comme mission d’enseigner l’histoire de France aux jeunes générations afin qu’ils prennent leur distance avec ce terme que la science rejette aujourd’hui. L’étude poussée de l’histoire de la « légendaire » Terreur est réussie. L’auteur démontre que ces années ne peuvent se résumer ni à Robespierre, ni à une dictature, ni à la mise en œuvre d’un programme ou d’une idéologie précise. Par les 32 questions finement posées, l’historien offre de nombreuses clés pour aborder cette période. Cependant, bien que l’organisation rhétorique dévoile une volonté manifeste de rendre audible à un large public une histoire complexe et emprise d’une forte idéologie, l’œuvre de l’historien paraît difficile d’accès au néophyte qui n’a qu’une connaissance très éparse de ce que peut être la Révolution française. Le travail de l’historien n’en demeure pas moins capital pour sa discipline. Partant de la construction mémorielle d’un fait – comment l’Histoire a donné vie à des événements et des personnages – pour ensuite travailler sur les sources, il nous permet ainsi de déconstruire les préjugés anachroniques, de revenir sur le travail historique lui-même et dès lors, remet un peu d’ordre dans cette histoire trop souvent mystifiée.

AUTEUR
Arnaud Malaty
Étudiant en Master 2 Histoire
Université de Bourgogne Franche-Comté

ANNEXES

NOTES
[2] Jean-Clément Martin, La machine à fantasmes. Relire l’histoire de la Révolution française, Paris, Vendémiaire, 2012.
[3] Jean-Clément Martin et Charles Suaud, Le Puy du Fou en Vendée, l’Histoire mise en scène, Paris, L’Harmattan, 2000.
[4] Jean-Clément Martin, Robespierre, la fabrication d’un monstre, Paris, Perrin, 2016.

RÉFÉRENCES

Pour citer cet article :
Arnaud Malaty, « Jean-Clément Martin, La Terreur, vérités et légendes, Paris, Perrin, 2017, 238 p. », Territoires contemporains - nouvelle série [en ligne], 4 septembre 2018, disponible sur : http://tristan.u-bourgogne.fr/CGC/prodscientifique/TC.html.
Auteur : Arnaud Malaty.
Droits : http://tristan.u-bourgogne.fr/CGC/prodscientifique/TC/credits_contacts.html
ISSN : 1961-9944

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